LE WORKWEAR

VETEMENT PROFESIONNEL

CHOISIR SA TENUE DE TRAVAIL

Le vêtement professionnel selon l'activité

Le milieu dans lequel évolue le travailleur va déterminer sa tenue professionnelle. On classe principalement un vêtement de travail selon des secteurs d’activités :

Dans ces secteurs d’activité, il est très important de choisir des vêtements professionnels ergonomiques, résistants et confortables

Privilégier des matières stretch présentes partiellement ou sur la totalité du vêtement ; surtout pour le pantalon de travail car l’utilisateur est amené à se baisser, travailler à genoux. Ces différentes positions peuvent aussi créé des zones de tensions fortes sur les vêtements de travail, c’est pour quoi le stretch est une matière privilégiée pour avoir un vêtement professionnel robuste et confortable. D’autre part, il est conseillé d’opter pour des pantalons de travail avec des empiècements Cordura© (ou Oxford) à des zones fortes de friction : bas de pantalon, genoux, bas de veste, etc.

Concernant les températures, pour les utilisateurs travaillant en extérieur tout au long de l’année, il est primordial de choisir des vêtements professionnels faciles à mettre/enlever. Tout d’abord, pour bien équiper un collaborateur, opter pour 3/4 couches : sous vêtement thermique (pour l’hiver), tee-shirt, sweat/polaire, manteau/veste chaude. Pendant les périodes chaudes, pour les personnes travaillant sur chantier, voirie, opter pour le tee-shirt haute visibilité ou le baudrier haute visibilité. Concernant la haute visibilité et les spécificité de la norme, aller à l’onglet « haute visibilité ». 

Privilégier des vêtements fonctionnels et confortables. Pour cela, les vestes et les pantalons doivent être renforcés à des endroits stratégiques et dotés de multiples poches pratiques. 

Ces vêtements peuvent répondre à des exigences spécifiques, tel que l’ajout de bandes réfléchissantes sur le bas du pantalon. 

Choisir son vêtement de travail dépend aussi de la température de l’environnement. S’il fait chaud (au dessus de 18°C°), le plus facile pour le travailleur est d’enlever certains vêtements de travail sans difficulté, ou d’opter pour des vêtements plus légers ; l’utilisateur peut alors réguler sa température. S’il fait froid, le plus important est que l’utilisateur n’est pas froid. 

Privilégier des vêtements fonctionnels et confortables. Pour cela, les vestes et les pantalons doivent être renforcés à des endroits stratégiques et dotés de multiples poches pratiques. 

Ces vêtements peuvent répondre à des exigences spécifiques, tel que l’ajout de bandes réfléchissantes sur le bas du pantalon. 

Choisir son vêtement de travail dépend aussi de la température de l’environnement. S’il fait chaud (au dessus de 18°C°), le plus facile pour le travailleur est d’enlever certains vêtements de travail sans difficulté, ou d’opter pour des vêtements plus légers ; l’utilisateur peut alors réguler sa température. S’il fait froid, le plus important est que l’utilisateur n’est pas froid. 

Dans ces secteurs d’activité, il est très important de choisir des vêtements professionnels ergonomiques, résistants et confortables

Privilégier des matières stretch présentes partiellement ou sur la totalité du vêtement ; surtout pour le pantalon de travail car l’utilisateur est amené à se baisser, travailler à genoux. Ces différentes positions peuvent aussi créé des zones de tensions fortes sur les vêtements de travail, c’est pour quoi le stretch est une matière privilégiée pour avoir un vêtement professionnel robuste et confortable. D’autre part, il est conseillé d’opter pour des pantalons de travail avec des empiècements Cordura© (ou Oxford) à des zones fortes de friction : bas de pantalon, genoux, bas de veste, etc.

Concernant les températures, pour les utilisateurs travaillant en extérieur tout au long de l’année, il est primordial de choisir des vêtements professionnels faciles à mettre/enlever. Tout d’abord, pour bien équiper un collaborateur, opter pour 3/4 couches : sous vêtement thermique (pour l’hiver), tee-shirt, sweat/polaire, manteau/veste chaude. Pendant les périodes chaudes, pour les personnes travaillant sur chantier, voirie, opter pour le tee-shirt haute visibilité ou le baudrier haute visibilité. Concernant la haute visibilité et les spécificité de la norme, aller à l’onglet « haute visibilité ». 

La gamme de vêtements de Protection ESD répond à la norme CEI 61340-5-1. Cette norme encadre les vêtements de protection des dispositifs électroniques contre les phénomènes électrostatiques (ESD).

Les charges électrostatiques sont des sources récurrentes d’endommagement des matériels électroniques. Pour les éviter, il faut impérativement adopter une tenue adaptée en thermes de vêtements et d’équipements complémentaires.

Le vêtement professionnel multirisques est un vêtement pour des utilisateurs  évoluant dans des milieux à risques multiples. C’est pour cela que le vêtement répond à plusieurs normes : 

  •  EN ISO 11612 (2016) Protection contre la chaleur et la flamme
  • EN ISO 14116 (2015) Protection contre les flammes
  •  EN ISO 11611 (2015) Vêtements de protection utilisés pendant le soudage et les techniques connexes
  • EN 1149-5 (2008) Protection contre les charges électrostatiques
  •  IEC 61482-1-2 (2009) Vêtements de protection contre les dangers thermiques d’un arc électrique
  • EN 13034 (2005) + A1 (2009) Protection contre les produits chimiques liquides

Ces environnements à risques multiples sont qualifiés de zone ATEX. 

Mode d’emploi pour l’utilisateur d’un vêtement professionnel multirisques : 

  • Le vêtement de protection doit être porté fermé afin de garantir une protection optimale.
  • La protection des vêtements de travail n’est effective que lors d’une utilisation correcte. Avant de choisir un vêtement de protection, il est recommandé de l’essayer.
  • L’usure ordinaire, le lavage et la saleté éventuelle peuvent affecter les propriété électrostatiques et ignifuges du vêtement de protection.
  • Afin de garantir une durée de vie optimale aux produits, il est nécessaire de respecter les instructions de lavage et d’entretien.
  • Un équipement de protection supplémentaire peut être nécessairé

 

La Haute Visibilité est liée à la norme EN 20471 (2013) + A1 (2016). Ce sont principalement pour les personnes intervenant à pied sur le domaine routier à l’occasion d’un chantier ou d’un danger temporaire, pour les rendre visibles de jour et de nuit. Pour cela, le vêtement haute visibilité se compose d’une matière fluorescente (rouge fluo, orange fluo ou jaune fluo) avec des bandes rétroréfléchissantes (au niveau du buste, bras, jambe, épaules).

Ces matières ont des dimensions minimales requises sur le vêtement professionnel, ce qui va alors déterminer sa classe. Il en existe 3 classes, la classe 3 étant la plus visible.

  • Classe 1 : Pour les travaux sur route, sur voie ferrée ou sur les chantiers de construction, séparés de la circulation. Les vêtements de classe 1 peuvent être utilisés dans les situations impliquant généralement une vitesse de circulation inférieure à 30 km/h.
  • Classe 2 : Pour les travaux sur route, sur voie ferrée ou sur les chantiers de construction, séparés de la circulation. Les vêtements de classe 2 peuvent être utilisés dans les situations impliquant généralement une vitesse de circulation inférieure à 60 km/h.
  • Classe 3 : Pour les travaux sur route, sur voie ferrée ou sur les chantiers de construction, séparés ou non de la circulation. Les vêtements de classe 3 doivent être utilisés dans toutes les situations impliquant généralement une vitesse de circulation supérieure à 60 km/h.

Attention ! Dans le cas de la classe 3, le pantalon et la veste normés chacun en classe 2, ne veut pas dire que l’ensemble est en classe 3. Le fournisseur doit passer des tests sur l’ensemble et le spécifier sur la fiche technique pour que l’ensemble soit en classe 3.

Pour bien porter son vêtement professionnel haute visibilité, il y a un mode d’emploi :

  • Toujours porter les vêtements de sécurité fermés afin d’éviter toute discontinuité des bandes réfléchissantes.
  • Ne pas masquer les bandes réfléchissantes
  • Respecter les consignes de lavage et d’entretien.

L’ambulancier a une tenue réglementaire qui est composé d’un blouson, d’un haut et d’un pantalon. 

Il  y a deux réglementations d’usage concernant son vêtement professionnel :  

  • la couleur :  il n’y a pas de code couleur prédéfini, mais il est d’usage de choisir le bleu ou le blanc. 
  • la visibilité : il est recommandé de porter des vêtements pour être visible. Cela passe par des éléments fluorescents et/ou rétroréfléchissants. Si l’ambulancier est sur voirie, il doit porter a minima un gilet haute visibilité normé EN 20471. Ou il peut se rapporter sur des vêtements HV de classe 1. Ce sont des vêtements à majorité de couleur neutre, avec des empiècements fluorescents et des bandes rétroréfléchissantes. Sinon, privilégier des vêtements normés EN 17353. Cette norme  est destinée à rendre les utilisateurs plus perceptibles dans des situations de risque modéré quelles que soient les conditions de lumière du jour ou d’éclairage dans l’obscurité

Cette nouvelle norme EN 17353 comporte 3 classifications :

  • TYPE A : Visible de jour, exclusivement en matière fluorescente
  • TYPE B : Visible dans l’obscurité, présence de matière rétro réfléchissante :
    • B1 : en suspension libre – non concernés sur nos lignes produits catalogue
    • B2 : Membres
    • B3 : Torse ou Torse et Membres
  • TYPE AB : Visible en lumière du jour, demi-jour et obscurité, comportant des matières rétroréfléchissantes et fluorescentes
Contenu d’accordéon

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Ce que privilégie JPIG

Au delà de l’environnement dans lequel évolue le travailleur, le vêtement professionnel doit répondre à d’autres critères : 

  • l’esthétique : de plus en plus de fournisseurs renouvellent leurs gammes pour répondre aux exigences d’aujourd’hui : ils privilégient des fittings plus près du corps, de nouveau coloris dans l’air du temps et de nouvelles matières toujours plus innovantes. 
  • le confort : à la recherche de plus d’ergonomie, les industriels privilégient de plus en plus des matières stretch tels que l’élasthanne ou élastomultiester. Ces nouvelles matières sont utilisés sur l’ensemble du vêtement ou alors à des endroits stratégiques : entrejambe, genoux pour le pantalon, dos, bras au niveau de la veste. Le vêtement est aussi mieux penser en matière de coupe pour apporter plus de confort ; par exemple, on rajoute des soufflets au niveau du dos des vestes pour avoir plus d’amplitude. 
  • la qualité : pour avoir un vêtement professionnel de qualité, il faut s’intéresser à la matière et à sa qualité intrinsèque,  surtout lorsqu’il s’agit d’une matière naturelle. Par exemple, le coton : il faut privilégier une fibre de coton longue. Pour le savoir, il faut se tourner sur des cotons dits « supima » ou choisir des labels reconnus comme BetterCotton. De plus, chaque matière a ses défauts et qualités. Attention, certains industriels privilégient certaines matières à l’instar de d’autres pour des questions de coûts, ce qui va avoir une incidence sur la qualité et la résistance du vêtement.
  • la résistance : ce point est étroitement à la qualité du vêtement : un vêtement de qualité est un vêtement plus résistant, et donc qui dure plus longtemps dans le temps.
  • le prix : le budget du vêtement professionnel est un véritable investissement qui doit être réfléchi. Le prix est souvent un facteur déterminant dans le choix du vêtement. Mais attention ! Il faut parfois privilégier un vêtement plus cher ET plus qualitatif car il durera plus longtemps. A l’inverse un vêtement peu couteux, est souvent un vêtement moins qualitatif, et donc il faut le changer plus souvent. La rentabilité d’un vêtement se fait dans le temps. 
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